Se libérer de l’emprise de notre société
Lorsque nous sommes enfant, nous sommes littéralement boulimique de savoirs et de connaissances. Notre curiosité à souvent épuisé nos parents, car nous voulons tout savoir sur le monde :
« Dis maman, pourquoi les coccinelles ont des points sur le dos ? »
« Dis papa, pourquoi le jour succède à la nuit ? »…
C’est notre société, notre culture, nos rites et coutumes qui limitent nos élans, car nous avons défini des accords, établi des règles, accepté des croyances qui définissent le monde d’une certaine façon. Une sorte de maillage, souvent transparent, qui c’est tissé au fil des générations et nous attrape.
Cette société décide à notre place ce qui est juste et ce qui ne l’est pas. Ce qui est vrai ou faut. Ce qui est bien ou mal. Ce que l’on doit faire ou ne pas faire. Ce que l’on doit être ou pas.
Un système invisible qui s’attendent à ce que nous agissions d’une certaine façon et qui nous juge sévèrement si on tente d’exercer notre libre arbitre en nous comportant ou en pensant différemment.
Ainsi, où que nous soyons sur la planète, nos systèmes d’éducation, décident de ce que nous devons apprendre au détriment d’autres choses, en faisant fi de nos aspirations personnelles, de notre créativité naturelle et de nos passions.
Les pays nordiques, tels que la Finlande ou la Norvège, l’ont peut-être mieux compris que nous, les français, car il semble que les pratiques pédagogies qu’ils utilisent pour éduquer leurs enfants encouragent davantage la créativité et l’individualité. Pas de système de notation, ni de compétition entre les jeunes, mais une incitation à la coopération.
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