La vie que je veux

Vivre la vie que l’on veut en 2021

J’écris ces lignes le 15 janvier 2021, alors que nous sommes au beau milieu d’une crise sans précédent dans l’histoire humaine.

A l’heure actuelle, les Français, mais aussi une bonne partie des habitants de ce monde, ne sont plus libres de faire ce qu’ils veulent. Ils sont confinés ou sous le couvert de nombreuses restrictions sociales. Beaucoup ont même perdu leur activité professionnelle ou n’ont plus le droit de l’exercer.

La plupart des dirigeants ont choisi de limiter les déplacements des citoyens, car un virus s’est répandu sur Terre depuis la Chine, ou plus précisément, depuis Wuhan dans le centre du pays.

Les personnes qui, comme moi, n’ont accès qu’aux informations qu’on peut glaner sur le Net, ne savent pas réellement ce qui se passe. Même si chacun se fait sa petite opinion, nous n’avons aucune certitude et il est probable que nous ne connaîtrons jamais la vérité. En ce qui me concerne, je trouve cela profondément déroutant et j’avoue que je me sens plutôt angoissée, comme beaucoup de personnes de mon entourage.

On ne sait ni véritablement d’où provient ce virus (d’un laboratoire, d’un pangolin, d’une chauve-souris…), ni comment il se propage. On ne sait pas non plus comment soigner les gens. D’ailleurs, quantités de polémiques ont été soulevées sur le sujet.

De nombreux acteurs du milieu médical sont divisés. On a certains médecins épidémiologistes d’un côté et des laboratoires pharmaceutiques de l’autre, qui n’arrivent pas à se mettre d’accord sur la situation et sur la manière d’y remédier. On parle déjà de corruption au sein de l’industrie pharmaceutique, principalement des gros groupes, que l’on appelle BigPharma. Beaucoup pensent que la perspective de fournir un remède à des milliards d’individus et d’en tirer des bénéfices colossaux leur a fait perdre les sens de l’éthique. On dit même que certains laboratoires susceptibles de fournir des remèdes ont joué d’influence pour faire interdire la prescription de médicaments peu coûteux et facilement accessibles, afin de mettre les leurs sur le marché à des prix exorbitants.

Evidemment, ce ne sont que des suppositions, mais les conséquences sont déplorables, car les personnes ne sont pas soignées. Et pour les plus fragiles, c’est déjà trop tard.

Pour ma part, je l’ai attrapé 2 fois et mes enfants aussi. Nous avons utilisé des huiles essentielles et des plantes médicinales sur les conseils de notre médecin traitant. De toute façon, c’était ça, où rien, parce que les consignes de l’Etat se limitent à nous sommer de rester chez nous pour éviter les risques de contagions, sans pouvoir accéder à d’autres formes de remèdes. Ce qui fait que lorsqu’une personne du foyer l’attrape, les autres l’attrapent aussi.

On s’en est très bien tirés…

En dehors du risque de tomber malade, les membres de mon entourage et moi-même avons le sentiment que nos vies ne nous appartiennent plus, que nous sommes devenus des marionnettes entre les mains de ceux qui nous gouvernent ou qui dirigent les organismes de santé mondiale. Apparemment, ce ne sont plus les médecins qui décident comment prendre soin de notre santé. A par quelques irréductibles qui cherchent par tous les moyens de nous garder informé, qui font d’ailleurs face à la censure des médias et à celle de l’ordre des médecins. Là non plus, je ne comprends pas pourquoi ! Ne serait-ce pas plus approprié de chercher à coopérer au lieu de diviser pour que des solutions soient rapidement trouvées ?

Honnêtement, je n’ai jamais pensé qu’il serait possible d’en arriver là un jour. Avant cette crise, je n’avais pas imaginé que ma vie ne m’appartenait pas et qu’on pouvait décider pour moi de ce que j’ai le droit de faire ou pas. A ce jour, le monde m’apparaît comme une prison géante faite de barreaux invisibles. Je dois être bien plus naïve que je le croyais.

Je n’arrive pas à admettre que les médecins généralistes ont interdiction de nous soigner. Certains ont même perdu leur droit d’exercer leur activité parce qu’ils l’on fait quand même. Et pour tout vous dire, notre médecin de famille (depuis plus de 20 ans) a fini pas démissionner. Enfin, c’est ce qu’il nous a annoncé.

Les dirigeants de nombreux pays occidentaux se sont octroyé le droit de décider de ce que nous pouvons faire ; des traitements que nous avons le droit de prendre ; des endroits où nous pouvons aller ; des personnes que nous pouvons fréquenter (interdis de fêter Noël en famille) ; si nous pouvons travailler. Toutes les trois semaines environ, nous sommes sous le couvert de nouvelles restrictions sociales.

Pourtant, à ce jour (le chiffre reste à vérifier) on a constaté que seulement 0,005 % des personnes qui ont attrapé ce virus en sont décédées. Ce qui fait peut, reconnaissons-le, même si ces morts sont toutes à déplorer. Mais tous les jours, les médias nous transmettent des statistiques alarmantes, comme si notre vie ne tournait plus qu’autour de ça.

On ne sait pas non plus si les mesures qui sont prises sont utiles à quelque chose, car rien ne change et une grande partie des gouvernements misent sur la possibilité d’une vaccination générale pour nous sortir de cette situation.

En attendant, nous sommes tous logés à la même enseigne. Les gens sont confinés. Cela va bientôt faire un an que notre vie s’est arrêtée. Même si nous sommes passés d’un confinement généralisé à un confinement partiel, beaucoup de gens ont perdu leur travail et ceux qui ont eu la chance de l’avoir conservé sont majoritairement en télétravail et travaillent de chez eux.

Certaines activités sont interdites : les restaurants et les bars sont fermés, ainsi que tout ce qui touche aux loisirs (théâtres, cinémas, musées, concerts, cirques, rassemblements culturels, etc.). Tous les gens qui travaillent dans ces secteurs n’ont plus de revenus depuis des mois et leurs projets sont suspendus.

En tant que consultantes et formatrice, j’ai aussi perdu une très grande partie de mes activités, car les entreprises doivent faire face à un grand nombre de difficultés, elles ont réduit leurs budgets de formation qui n’est plus leur vraiment priorité.

Le secteur de l’enseignement en a pris lui aussi un sacré coup et on ne peut pas dire que les établissements ont vraiment su comment réagir et les jeunes générations sont aussi très touchées.

Du fond du cœur, j’espère que tout cela va bientôt prendre fin !

Après relecture, je constate que mon article est très confus.
Mais je choisis de le laisser tel quel, car il est à l’image de la confusion que je ressens intérieurement !

 

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Pascale est une "Militante du Bonheur", passionnée par l'aventure humaine. Sa mission est d'inspirer et soutenir les hommes et les femmes dans leur quête d’excellence et de réalisation personnelle.

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